À propos
Benjamin et Denis Fontaine sont à la tête de l’entreprise de pompes funèbres Gillicienne depuis 1992. Aujourd’hui, c’est une entreprise qui compte une cinquantaine de collaborateurs qui compose une équipe aguerrie attentive à la sérénité des proches endeuillés.
Bien qu’ils soient tous deux polyvalents, on rencontre plus souvent Benjamin sur le terrain, tandis que Denis s’occupe en priorité de l’aspect administratif.
Chaque décès s’inscrit dans un contexte particulier et unique et les deux frères veillent rigoureusement à répondre à tous les besoins spécifiques qui en découlent.
Benjamin et Denis, en déployant tact et diplomatie, conseillent de manière avisée les familles dans la peine et les allègent complètement de la lourdeur bureaucratique qui découle d’une disparition.
Le monde est en constante évolution et aucun métier n’y échappe. Dans le respect des traditions, les Pompes Funèbres Fontaine acquièrent régulièrement des équipements et adoptent des méthodes dans le seul but d’offrir les meilleures prestations.
En outre, la Maison Fontaine est unique en Belgique pour ses équipements et ses infrastructures qui permettent des opérations délicates liées au métier dans des conditions optimales. Elle met également ses salles d’autopsie à la disposition de médecins légistes et anatomopathologistes lors de décès suspects.
HISTORIQUE DES POMPES FUNÈBRES FONTAINE
Heureux hasard de l’homonymie, c’est à Jean Fontaine, qui n’était pas de notre famille, que nos parents rachetèrent en 1974 une petite entreprise de pompes funèbres bien connue depuis 1887 à Gilly.
L’idée de départ, dans l’esprit de nos parents, était de fabriquer des cercueils. Petit à petit, ils commencèrent néanmoins à s’occuper des déclarations de décès et d’autres petites tâches administratives pour les familles dans la peine.
Le métier était déjà en train d’évoluer et, en 1978, ils construisirent l’un des premiers funérariums de la région de Charleroi.
C’est le sort, ensuite, qui a décidé de notre destin. En 1985, la mort de notre père nous laissa, notre mère et nous, face à notre chagrin, mais aussi à de bien lourdes responsabilités. Durant sept années, notre mère a poursuivi seule la réorganisation de la société. Elle mit tout en œuvre pour nous laisser les rênes, en douceur, tandis que nous nous formions au métier.
Notre jeunesse et notre dynamisme tranchèrent d’emblée avec le conservatisme ambiant de la profession et c’est, sans aucun doute, ce qui nous a démarqué de l’offre existante.
Le magasin de Gilly a été agrandi, il est aujourd’hui, avec sa surface de 500 m², un des plus grands de Belgique. La société s’est informatisée ; nous nous sommes engagés dans un processus de qualité qui a débouché sur une certification ISO 9001 unique en Europe dans ce secteur d’activité dont nous sommes particulièrement fiers.
Pour répondre de manière la plus adéquate possible aux aspirations des familles des défunts, il nous a fallu constamment investir. C’est ainsi qu’en 1995, un tout nouveau funérarium, en bordure de la route de la Basse-Sambre, a vu le jour. Il ne propose pas moins de six salons autonomes, ainsi que deux vastes salles de réception entièrement équipées.
Dans le même objectif, nous mettons aujourd’hui au service de nos hôtes, une équipe d’environ trente collaborateurs à temps partiel et de dix autres à temps plein, une flotte de véhicules récents et des infrastructures modernes, tout aussi luxueuses que performantes.
L’année 2014 marque un tournant capital pour nous. En effet, le 1er janvier, nous avons racheté la maison FOSTIER de Montigny-le-Tilleul jusqu’alors gérée par Emile (le père), Jean-Pierre et Walter (ses deux fils). Avec ce rachat, nous poursuivons des objectifs de modernisation et d’amélioration des services offerts dans la région.
Mais l’ouverture d’esprit de notre maison n’a de sens que lorsqu’elle fait écho au respect, à la disponibilité et à l’humanité qui sont les clés de voûte de notre profession.
Chaque décès est une expérience douloureuse et, bien qu’exerçant la profession depuis plusieurs décennies, nous sommes inscrits dans une vision de notre métier qui bannit la routine. Ayant vécu la profonde douleur de la perte brutale d’un être cher, nous mesurons l’ampleur des qualités nécessaires qui sont attendues dans pareilles circonstances par ceux que nous nommons nos hôtes. En effet, il ne s’agit pas de clients, mais bien de personnes à qui nous offrons notre soutien, notre empathie et toute notre compréhension.
Benjamin et Denis Fontaine
HISTORIQUE DES POMPES FUNÈBRES FOSTIER
Les choses ont débuté de façon très modeste. À la fois taximan et ambulancier, Camille Fostier investit dans l’achat d’un corbillard en 1936, après avoir remporté la concession des transports funèbres pour la ville de Thuin, berceau de son activité. Pour ce faire, il acquiert un châssis de Citroën sur lequel il fait monter une « caisse » aménagée pour recevoir les corps qu’il allait notamment chercher à la gare de Thuin Nord.
En 1948, à peine âgé de 19 ans, Emile décide de développer la petite activité de transports funèbres de son père. Dans un premier temps, il fait un stage dans une maison de funérailles de Solre-sur-Sambre pour apprendre à garnir les mortuaires et les églises. Fort de cette première expérience, il étoffe son offre en proposant des cercueils aux familles.
Petit à petit, avec l’aide d’Irène, son épouse, il multiplie les initiatives et réussit à se faire un nom à Thuin où il établit sa société en rachetant puis en transformant plusieurs maisons.
Passionné de mécanique automobile – il possède un diplôme de mécanicien – Emile Fostier agrandit ensuite son petit parc de corbillards, en achetant notamment un Fordomatic Courier, un Buick et un Oldsmobile. Ainsi équipé, il remporte successivement plusieurs concessions de transports funèbres dans une série de communes à Thuin et ses environs, mais aussi à Charleroi où il travaille durant des années pour Lodelinsart.
La vie de la petite société familiale prend un tournant capital en 1963 lorsqu’Emile soumissionne avec succès auprès de la commune de Montignies-le-Tilleul (l’orthographe de l’époque) et remporte le marché pour une période de 5 ans, alors que le projet de construction de l’hôpital du Rayon de Soleil allait bon train.
Emile Fostier comprend très vite l’opportunité qui s’offre à lui et décide de s’installer en face de l’établissement hospitalier. Avec cette emplacement idéal, il construit un magasin et un funérarium, doté de salons procurant toutes les commodités aux familles. L’endroit devient très vite une référence dans la région et se voit doublé de quelques annexes, comptant une menuiserie pour la fabrication des cercueils et un atelier de thanatopraxie pour la préparation et l’embaumement des corps.
Cette dernière spécialité sera développée par Jean-Pierre Fostier, le fils aîné d’Emile, qui, après une année d’études à Paris, puis un séjour aux Etats-Unis, a perfectionné ses connaissances dans le domaine.
En 1981, son frère cadet, Walter, va à son tour intégrer l’équipe et c’est ainsi que se forme le triumvirat polyvalent qui tiendra les rênes de l’entreprise jusqu’au 31 décembre 2013. Jusque-là, Emile et Jean-Pierre se consacraient principalement au travail de terrain et à l’accompagnement des familles, tandis que Walter s’occupait davantage de l’administration et des finances.
Le 1er janvier 2014, la maison de funérailles Fostier est rachetée par les pompes funèbres Fontaine de Gilly.
Le 1er janvier 2017, des rénovations et transformations ont été effectuées ; tout a été remis à neuf dans le funérarium afin d’accueillir les familles des défunts dans les meilleures conditions.